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Notre Conseil se réunira de 18 h 30 à 21h 30.
Pour rappel il est ouvert à tous les membres du mpOC qui en reçoivent l’OJ et les rapports.
+ d’infos : info arobase objecteursdecroissance.be
En cas de soucis ce jour-là : 0476 86 03 05
Mundo-N Rue Nanon 98 5000 Namur
A quelques semaines des élections, avec les paysan-ne-s et leurs allié-e-s, nous nous rassemblerons devant le parlement wallon de 11h 30 à 14 h pour :
• Rappeler que le modèle alimentaire dominant détruit la planète et l’agriculture paysanne, chez nous comme aux ‘sud’.
• Exiger une politique agricole cohérente. La réforme de la PAC doit avoir pour premier objectif de soutenir l’agriculture familiale et paysanne, et non l’agrobusiness qui détruit notre climat. Aussi, il est impératif de refuser les accords de libre-échange, qui accroissent le pouvoir des transnationales de l’agroalimentaire et mettent les producteurs-rices du monde entier en concurrence, nuisant à leur dignité, à l’environnement et à la qualité de notre alimentation.
Des producteur-trice-s, des citoyen-ne-s, sont engagés depuis longtemps à la transformation des systèmes alimentaires ici et ailleurs. Il est indispensable que tous les niveaux de pouvoir s’engagent à leur tour.
Manifestation pour la fermeture immédiate des 5 réacteurs belges les plus dangereux.
À la date anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl du 26 avril 1986
Une action similaire sera menée simultanément à Cologne.
Le 26 avril 2019 verra la commémoration du 33e anniversaire de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Après 33 années, la situation sanitaire des habitants qui vivent dans un territoire grand comme 5 fois la Belgique continue de se dégrader du fait de la contamination radioactive : plus de 80 % des enfants qui y vivent sont en mauvaise santé, contre moins de 20 % avant l’accident. Cette déclaration de Raisa Misura, pédiatre et directrice de l’hôpital central de Stoline, à 240 km au nord-ouest de Tchernobyl, ne surprend donc pas : « 84 % des femmes enceintes ont une pathologie. C’est pourquoi la naissance d’un enfant en parfaite santé est un évènement rare » (bulletin de janvier 2008 du bureau biélorusse de l’ONU).
En Belgique, tout va bien… pour l’instant : avec deux réacteurs dont les cuves présentent des milliers de fissures et trois autres ayant plus de 40 ans de fonctionnement, la probabilité d’un accident majeur, comme à Tchernobyl et Fukushima, est loin d’être négligeable. Plus un réacteur atomique est vieux, plus il est dangereux.
Aussi l’ASBL Fin du nucléaire, le RAN et Bouli Lanners vous invitent à participer à la manifestation antinucléaire du vendredi 26 avril à 16 h à Bruxelles. Ci-dessous vous trouverez les informations pratiques et l’adresse de l’évènement Facebook. Vous y trouverez aussi un argumentaire à propos du risque inacceptable que nous fait courir la filière nucléaire qui, en plus de produire des déchets hautement radioactifs et quasi éternels dont on ne sait que faire, génère aussi des gaz à effet de serre en quantité.
Horaire
Déroulement
Vers 16 h, les manifestants se rendront en cortège devant le siège d’Engie-Electrabel situé à 400 m de la gare.
À la fin de la manifestation, toutes les personnes présentes seront invitées à se coucher par terre pendant 1 minute pour évoquer les conséquences d’un accident nucléaire grave ; le début et la fin de cette action finale seront signalés par sirène et mégaphone.
Pas de discours prévu en fin de manifestation. N’oubliez pas vos pancartes et calicots pour montrer nos exigences à Engie et au pouvoir politique, ni de prévoir ce qu’il faut pour se coucher par terre.
Argumentaire :
Promotion
Si possible, imprimer les tracts et affiches en noir et blanc sur du papier jaune intense. Si vous habitez en région liégeoise, les tracts et affiches sont disponibles à Barricade, rue Pierreuse 19, 4000 Liège (du lundi au vendredi, de 12h30 à 18h30, et le samedi, de 13h30 à 18h30).
Soutien
Écrivez-nous si vous pouvez aider concrètement à l’organisation de la manifestation (avant
et/ou
le jour même).
Merci de relayer vers la (les) association(s) dont vous êtes membre.
Organisation : Fin du nucléaire asbl, RAN et Aachener Aktionsbündnis gegen Atomenergie
NUCLÉAIRE ET CLIMAT
Le fonctionnement d’un réacteur lui-même ne génère que peu de gaz à effet de serre (GES). Mais la filière nucléaire comporte de nombreuses autres étapes qui toutes nécessitent beaucoup d’énergie d’origine fossile et donc émettent des GES, principalement : extraction du minerai, broyage, raffinage, enrichissement de l’uranium, construction et démantèlement des centrales, conditionnement et stockage des déchets.
Le nucléaire génère environ 8 fois plus de GES que l’éolien par unité d’énergie produite. C’est là une affirmation étayée, alors même que pour plusieurs étapes du cycle de vie du nucléaire, les données ne sont pas disponibles ou sont très incertaines : enrichissement, démantèlement et gestion des déchets pendant plus de cent-mille ans. Pour l’enrichissement de l’uranium, l’industrie nucléaire mondiale consomme annuellement 150 000 tonnes de fluor et de chlore sous des formes diverses, qui peuvent constituer des GES dont le potentiel de réchauffement est beaucoup plus grand que celui du gaz carbonique (CO2). Que deviennent-ils ? Quelle proportion est relâchée dans l’atmosphère ? Il n’existe pas de données accessibles pour répondre à ces questions.
Un seul réacteur de 1 GW nécessite annuellement l’extraction d’environ 200 000 tonnes de minerai*, une quantité qui est appelée à augmenter, le minerai exploité étant de moins en moins concentré. Les étapes d’extraction, broyage et raffinage produiront donc de plus en plus de GES. Dans quelques décennies, la quantité de GES émise par kWh nucléaire dépassera le niveau du kWh fossile.
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* Auquel il convient d’ajouter les « roches stériles », c’est-à-dire les roches extraites mais non traitées, car présentant des taux d’uranium trop faibles pour l’exploitation industrielle. Ce qui donne 800 000 tonnes supplémentaires, soit un total annuel de 1 million de tonnes de roche extraites par GW nucléaire, du moins en se basant sur les données de l’exploitation des mines d’uranium en France (source : IRSN).Pour aller plus loin : Climate change and nuclear power, Jan Willem Storm van Leeuwen, 2017, 85 pages.
Un atelier de réflexion en écologie sur le thème de la décroissance.
Quand bien même une croissance infinie dans un monde fini serait possible, ne faudrait-il pas questionner le sens du toujours plus ?
Il s’agit d’une rencontre conviviale de travail de plus ou moins 2h30 où les participants mènent individuellement et collectivement une réflexion sur un sujet lié à l’écologie. A partir d’une présentation de 15 à 20 minutes maximum (courte vidéo, ppt, témoignage, etc.) chacun apporte son expertise, son expérience, son point de vue, qu’il partage avec l’ensemble du groupe avant d’entamer un travail de réflexion et de propositions en sous-groupes. Ce travail en sous-groupes sera suivi d’une synthèse des travaux de réflexion et de l’élaboration de pistes d’actions et de propositions.
Quelques principes :
Rôle de la convivialité
Le plaisir à se regrouper est fondateur du travail qui pourra être fait ensemble, et de l’envie que chacun aura de voir évoluer la société, par opposition à un fatalisme ambiant.
Inscription (le nombre de places est limité)
info@ecocentre-oasis.be – 0485 36 08 54
Atelier organisé par l’écocentre Oasis en collaboration avec Mons en Transition
Un atelier de réflexion en écologie sur le thème de la publicité qui resserre de plus en plus son emprise sur nos consciences.
La publicité se présente comme un art, une culture, une machine à rêves. En réalité, elle façonne des besoins de consommation, véhicule des stéréotypes, pousse au toujours plus.
Il s’agit d’une rencontre conviviale de travail de plus ou moins 2h30 où les participants mènent individuellement et collectivement une réflexion sur un sujet lié à l’écologie. A partir d’une présentation de 15 à 20 minutes maximum (courte vidéo, ppt, témoignage, etc.) chacun apporte son expertise, son expérience, son point de vue, qu’il partage avec l’ensemble du groupe avant d’entamer un travail de réflexion et de propositions en sous-groupes. Ce travail en sous-groupes sera suivi d’une synthèse des travaux de réflexion et de l’élaboration de pistes d’actions et de propositions.
Quelques principes
1. Chacun partage ce qu’il a compris, tel qu’il l’a compris, là où il l’a compris avec l’ouverture d’esprit nécessaire pour nuancer son propos ou changer d’avis si l’on est convaincu par les arguments des autres participants.
2. Les propositions et actions doivent être envisagées localement dans sa région d’influence.
Rôle de la convivialité
Le plaisir à se regrouper est fondateur du travail qui pourra être fait ensemble, et de l’envie que chacun aura de voir évoluer la société, par opposition à un fatalisme ambiant.
Inscription (le nombre de places est limité)
info@ecocentre-oasis.be – 0485 36 08 54
Atelier organisé par écocentre Oasis en collaboration avec Mons en Transition
Notre Conseil se réunira de 18 h 30 à 21h 30.
Pour rappel il est ouvert à tous les membres du mpOC qui en reçoivent l’OJ et les rapports.
+ d’infos : info arobase objecteursdecroissance.be
En cas de soucis ce jour-là : 0476 86 03 05
Mundo-N Rue Nanon 98 5000 Namur
Conférence-débat avec Julien Lebrun, philosophe.
Depuis leurs origines, les sociétés modernes se sont instituées sur le déni des liens intimes que nous tissons avec l’environnement, se limitant à un rapport instrumental et scientifique avec celui-ci. Or, il ne s’agit pas simplement d’un point de vue que nous pourrions accepter ou refuser mais de la façon dont nous concevons spontanément et intuitivement notre monde. Tous nos gestes quotidiens, même les plus anodins, reposent ainsi sur cet imaginaire. La technique ne résoudra aucun des enjeux du siècle. Car ce n’est pas d’une révolution verte — par la technique — dont nous avons besoin, mais d’une révolution de nos esprits : nous devons réapprendre à vivre sur Terre.
Julien Lebrun est philosophe, enseigne dans une école secondaire à Bruxelles. Vient de paraître son premier essai, Vivre sur Terre. Comment dépasser le nihilisme contemporain ?, aux éditions L’Harmattan.
Organisé par le mpOC-Liège avec le soutien d’Attac-Liège.
À la salle Lumière de l’ULiège, place du XX août 7 (2e étage), à 19 h 30, accueil dès 19 h.
Entrée à prix libre.
Notre Conseil se réunira de 18 h 30 à 21h 30.
Pour rappel il est ouvert à tous les membres du mpOC qui en reçoivent l’OJ et les rapports.
+ d’infos : info arobase objecteursdecroissance.be
En cas de soucis ce jour-là : 0476 86 03 05
Mundo-N Rue Nanon 98 5000 Namur
Comme suite au débat sans conférence co-organisé le lundi 5 août 2019 par les groupes locaux du mpOC (Mouvement politique des objecteurs de croissance) et des Pastis Patates sur la question "Se passer du numérique ?" les 7 participantes ont décidé de consacrer le prochain débat à la question
A quoi ressemble une société idéale pour le mouvement de la décroissance ?
le lundi 2 septembre 2019 à 20 h
à la Maison du Développement durable
2 place Agora à LLN
Dans une "conférence-débat", il n’y a pas vraiment de débat entre toutes les participantes. Ici, il n’y a pas de conférence mais bien un vrai débat après une brève introduction du sujet. Tout le monde est invité à prendre la parole et peut être écouté par toutes à de nombreuses reprises sans être intimidé par le nombre de participantes. Vu qu’il n’y a pas de vedettes à l’affiche, la rencontre se déroule en cercle de parole, pas avec un public faisant face à des "expertes". Il ne s’agit pas d’y étaler son savoir mais plutôt d’essayer d’entendre, voire de comprendre, le point de vue de chacune, fût-il différent du sien. Débat, donc, et non combat.
N’hésitez pas à transmettre cette invitation autour de vous.
Au plaisir de débattre amicalement avec vous,
/Jean Pierre