Mouvement politique des objecteurs de croissance (mpOC) – 2009-2022

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Agenda

Evènements à partir du : 20 septembre 2016

  • Samedi 11 mars 2017 15:00-16:00

    La croissance... Que faire ?

    Trop peu de citoyens s’intéressent à la question de l’énergie, sur laquelle repose pourtant toute l’organisation de nos sociétés. Les gouvernements n’ont pas encore pris les mesures qui s’imposeraient. Sans énergie, pas de travail, pas de techniques, pas de civilisation, pas de vie !

    Le film d’animation Sans lendemain explique clairement les enjeux vitaux qui nous attendent à court et moyen terme.

    En présence de Bernard Legros et Francis Leboutte dumpOC-Liège (Groupe de Liège du Mouvement politique des objecteurs de croissance), nous aborderons la problématique de la Croissance et tenterons d’évoquer alternatives et pistes de solutions.

    Organisateur : Point Culture Liège. - Entrée libre.

    Liège Point Culture, Espace Saint-Michel, 1-5 Rue de l’Official

  • Samedi 11 mars 2017 16:00-18:00

    CETA, TTIP, TISA... fini ou pas fini ?

    Café politique dans le cadre du 2e Tour des cafés d’OLLN organisé par la Commission d’éducation permanente du Centre culturel d’OLLN.

    Les traités de "libre-échange" transatlantiques font l’objet de nombreux débats et rebondissements. Où en est-on ? Que faire ?

    Venez venez vous informer et en discuter avec le Collectif OLLN No-transat et les groupes locaux du mpOC (Mouvement politique des objecteurs de croissance) et de TAC (Tout autre chose).

    Contact :

    010 45 58 90
    olln.no.transat@agora-lln.be

    Partenaires :

    • • Collectif OLLN No-transat
    • • Groupe local du mpOC
    • • Groupe local de TAC

    Bibliographie :

    • • Raoul Marc Jennar, Le Grand marché transatlantique. La menace sur les peuples d’Europe, Cap Bear 2014
    • • Collectif : Commerce mondial : la démocratie confisquée, Yves Michel 2015
    • • Serge Latouche : L’invention de l’économie, Albin Michel 2005
    LA CLÉ DE SOL Boulevard Martin, 14 1340 Ottignies

  • Lundi 13 mars 2017 20:00-22:30

    Il faut tuer TINA - 200 propositions pour rompre avec le fatalisme et changer le monde

    Pour ce lundi contre la dette du 13 mars 2017, nous vous proposons de venir rencontrer Olivier Bonfond (CADTM Belgique) qui viendra présenter son tout nouveau livre « Il faut tuer TINA - 200 propositions pour rompre avec le fatalisme et changer le monde » (http://www.cadtm.org/Il-faut-tuer-TINA).

    Une soirée organisée par le CADTM, A Contre Courant et le CEPAG « TINA There Is No Alternative : il n’y a pas d’alternative. »

    La célèbre expression de Margaret Thatcher est tout sauf vraie. Des alternatives au capitalisme et à la pensée unique néolibérale existent. Elles sont construites par des femmes et des hommes qui, partout dans le monde, se dressent contre l’injustice, les inégalités, l’oppression. Beaucoup de ces alternatives sont simples, cohérentes et, avec un peu de volonté politique, pourraient être mises en œuvre dès aujourd’hui.

    Prétendre que l’être humain est fondamentalement égoïste ou que le capitalisme est notre seul horizon revient à forger notre impuissance : en jetant le discrédit sur celles et ceux qui veulent changer le monde, taxés de rêveurs, d’utopistes, TINA nourrit le fatalisme, la passivité et la résignation. En effet, comment penser l’alternative et pourquoi agir si l’on part du principe que, de toute façon, « c’est foutu » et qu’on n’y pourra rien changer ?

    C’est le point de départ et l’objectif de ce livre : proposer un outil accessible, pratique, concret et rigoureux pour rompre avec le fatalisme ambiant et montrer que, dans tous les domaines (finance, économie, éducation, culture, démocratie, agriculture, etc.), des alternatives crédibles à la mondialisation capitaliste sont à notre portée.

    Cet ouvrage s’adresse aux millions de personnes indignées par les injustices et les absurdités de ce monde. À celles et ceux qui veulent construire un autre modèle, fondé sur la satisfaction des droits humains fondamentaux, le respect de l’environnement et la construction d’une véritable démocratie.

    L’Histoire a montré qu’il est vain d’attendre passivement que nos dirigeants servent les intérêts des populations. Ce ne sont pas le bon sens ou l’intérêt général qui mènent le monde, mais les rapports de force. Face à la puissance organisée des transnationales et de la finance, il est temps que les peuples s’organisent, prennent en main leur destin et, par l’action collective, relèvent le défi du changement. Si ce livre réussit à éveiller l’envie d’apprendre, de débattre et de passer à l’action, il aura pleinement joué son rôle.

    Olivier Bonfond est économiste et conseiller au CEPAG (Centre d’Éducation populaire André Genot). Militant altermondialiste, membre du CADTM, de la plateforme d’audit citoyen de la dette en Belgique (ACiDe) et de la Commission pour la Vérité sur la dette publique grecque, il est l’auteur du livre Et si on arrêtait de payer ? 10 questions/réponses sur la dette publique belge et les alternatives à l’austérité (Aden, 2012). Il est également coordinateur du site www.bonnes-nouvelles.be

    Éditions Le Cerisier
    En collaboration avec le CEPAG et le CADTM

    L’Aquilone
    Boulevard Saucy 25, 4020 Liège

  • Mardi 14 mars 2017 20:30-23:00

    Know Apocalypse

    Spectacle « Know Apocalypse » par la Compagnie de l’Éponge
    Seul en scène piquant qui traite du rapport bourbeux que notre société entretient avec le pétrole.

    Humour décalé et troublantes vérités.

    Suivi d’un échange avec Marie Simonet (comédienne, Compagnie de l’Eponge) et Francis Leboutte (membre du mpOC-Liège et de l’ASPO.be).

    PAF : 10/7 €.

    Liège À la péniche le Ventre de la Baleine, quai de Gaulle, 4020 Liège (près de la Passerelle Saucy).

  • Jeudi 16 mars 2017 17:00-19:00

    Vers une société post-croissance : intégrer les défis écologiques, économiques et sociaux

    Deux rencontres programmées à l’occasion de la parution du livre collectif « Vers une société post-croissance : intégrer les défis écologiques, économiques et sociaux », aux éditions de l’Aube.

    Outre les contributions de ses trois directeurs, Isabelle Cassiers, Kevin Maréchal et Dominique Méda, il contient celles de Bernard Perret, Thomas Bauwens et Sybille Mertens, Stephan Kampelmann, Géraldine Thiry et Olivier De Schutter.

    La thématique générale du livre et ses trois premiers chapitres seront présentés lors de deux conférences les jeudis

    Collège de l’académie royale de Belgique (1 rue Ducale, 1000 Bruxelles)

  • Dimanche 19 mars 2017 16:00-18:00

    SARAYAKU « Leur combat, notre combat, points de similitudes ? »

    Conférence-débat. En première partie, Jacques Dochamps présentera son film
    « le chant de la fleur »

    Organisation Vert et Vie

    PAF gratuit. Réservation souhaitée via asblvertetvie@laposte.net

    A l’Escale, salle acoustique,
    Avenue de la Station 80 – 4130 Esneux 

  • Jeudi 23 mars 2017 17:00-19:00

    Vers une société post-croissance : intégrer les défis écologiques, économiques et sociaux

    Deux rencontres programmées à l’occasion de la parution du livre collectif « Vers une société post-croissance : intégrer les défis écologiques, économiques et sociaux », aux éditions de l’Aube.

    Outre les contributions de ses trois directeurs, Isabelle Cassiers, Kevin Maréchal et Dominique Méda, il contient celles de Bernard Perret, Thomas Bauwens et Sybille Mertens, Stephan Kampelmann, Géraldine Thiry et Olivier De Schutter.

    La thématique générale du livre et ses trois premiers chapitres seront présentés lors de deux conférences les jeudis

    Collège de l’académie royale de Belgique (1 rue Ducale, 1000 Bruxelles)

  • Jeudi 23 mars 2017 19:00-22:30

    Un millénaire de simplicité volontaire en Occident

    Conférence-débat avec Alain Adriaens à propos de sont livre Un millénaire de simplicité volontaire en Occident (Ed. Couleur livres, 2016). Alain Adriaens est essayiste, député honoraire bruxellois et un des porte-paroles du mpOC.

    Organisé par le mpOC-Liège avec le soutien d’Attac-Liège et d’A Contre Courant (ACC) et de Barricade.

    À 19 h 30, accueil dès 19 h. Entrée à prix libre (de 0 € à plus).

    L’affiche et le trac

    Liège À Barricade, rue Pierreuse.

  • Du 24 mars 2017 17:00 au 25 mars 2017 13:30

    Ni robot, ni objet, simplement humain

    Le 17 octobre 2015, le Grappe organisait un grand colloque intitulé « Quand l’invasion technologique menace nos libertés ». Nous y insistions sur la nécessité de sortir du consentement tacite et de la résignation et d’amorcer un débat politique contradictoire. C’est dans le même esprit qu’a lieu le colloque programmé les 24 et 25 mars prochains. Cette fois, il s’agit de questionner l’intrusion technologique dans nos corps et nos esprits au nom de la santé et du progrès.

    Des conférences-débats avec Jacques Testart, Valérie Lootvoet (directrice de l’Université des femmes), Jean-Pierre Lebrun (psychiatre et psychanalyste), Antoinette Rouvroy (Docteur en sciences juridiques), Michel Dupuis (Docteur en philosophie), Geneviève Azam (économiste, professeure honoraire de l’Université de Toulouse).

    Une organisation du GRAPPE (Groupe de Réflexion et d’Action pour une Politique Écologique )

    Le programme.

    Modalités pratiques pour l’inscription  :
    Pour participer au colloque, merci de vous inscrire par mail ou par courrier postal et de verser avant le 23 mars 2017 les frais de participation sur le compte du Grappe BE67 0682 4086 6787 :

    • 10 € pour une demi-journée (24 ou 25 mars) / 5€ étudiants
    • 15 € pour le colloque complet (24 et 25 mars) / 8€ étudiants
    Namur Faculté de Droit de l’Université de Namur, rempart de la Vierge

  • Mardi 28 mars 2017 12:30-14:30

    Mobilisons-nous contre le FFA, pour le futur de l’agriculture !

    Action le 28 mars à 12h30

    Mobilisons-nous contre le FFA, pour le futur de l’agriculture !

    Appel de la société civile

    Le 28 mars prochain, à Bruxelles, se déroulera la 10ème édition du Forum pour le futur de l’agriculture (FFA). Ses organisateurs, Syngenta (multinationale chimique et agroalimentaire) et ELO (lobby des grands propriétaires fonciers européens), y présenteront l’agriculture qui, selon eux, devra répondre aux défis alimentaires et environnementaux. Une coalition d’organisations paysannes (membres du mouvement La Via Campesina), d’organisations de la société civile et de citoyen-ne-s dénoncent ces fausses solutions de l’agrobusiness et invitent à se mobiliser pour lancer un message fort aux organisateur-ice-s et participant-e-s de ce forum : cette agriculture n’a pas de futur !

    De fausses solutions aux mauvais problèmes

    Sous un titre charmeur « là où l’agriculture et l’environnement se rencontrent », le forum présente un panel d’intervenants prestigieux (UE, OCDE, ONU, etc.) incluant aussi des ONG de conservation de la nature et des intellectuel-le-s. Derrière cette façade aux apparences débat ouvert se cache pourtant une coûteuse entreprise d’influence des pouvoirs politiques. Au moment où la réforme de la Politique agricole commune (PAC) de l’Union européenne et où de réglementations relatives à certains pesticides sont en cours de discussion, il est crucial pour les acteurs de l’agrobusiness de défendre leurs intérêts. Pour cela, ils se présentent comme les champions de la lutte contre la faim dans le monde et pour la préservation de l’environnement, ne défendant pourtant que des fausses solutions. Pour répondre aux défis alimentaires actuels et à venir, leur discours est invariable : augmenter la productivité des surfaces agricoles grâce à la technologie et diminuer davantage les entraves au libre-marché.

    En posant la question : “Comment nourrir 9 milliards d’êtres humains en 2050 ?”, les organisateurs du FFA entretiennent le mythe qu’on ne produit pas assez aujourd’hui pour alimenter l’humanité. Or selon la FAO nous produisons déjà assez de nourriture pour 12 milliards de personnes ! Les causes de la faim et de la malnutrition sont plutôt à rechercher du côté de l’extrême pauvreté (notamment en milieu rural, qui comprend environ 70% des personnes souffrant de la faim), du gaspillage alimentaire (30% des quantités produites à l’échelle mondiale sont gaspillées selon la FAO) et de l’accaparement de surfaces agricoles au bénéfice des agrocarburants et du bétail (pour la production de fourrage et pour l’élevage).

    Les lobbies et les multinationales vendent une agriculture soi-disant intelligente (smart agriculture en anglais) : robotisée, chimique, biotechnologique et spécialisée. Elle n’a pourtant pas pour effet de nourrir celles et ceux qui meurent de faim, mais de rendre les producteur-ice-s encore plus dépendant-e-s aux multinationales agroalimentaires. Outre leurs impacts sur la santé et l’environnement, ces technologies accélèrent l’endettement et la disparition des paysan-ne-s.

    Aussi, considérer les aliments comme une simple marchandise devant être soumise au libre-marché est une des principales causes de l’appauvrissement du monde paysan et de notre biodiversité. Tant au Nord qu’au Sud, la mise en concurrence des agriculteur-ice-s favorise les grosses exploitations au détriment des paysan-ne-s, qui subissent de plein fouet les conséquences désastreuses de ce modèle : baisse des revenus, perte d’emploi, disparition des fermes, endettement massif, spéculation sur les terres agricoles et sur les denrées alimentaires, etc. Depuis 30 ans, la Belgique a perdu 63% de ses fermes, soit 43 chaque semaine. Ce sont surtout les petites exploitations qui sont touchées.

    Des marchands de mort peints en vert

    L’agriculture des machines, de la chimie et des transports internationaux ne peut se passer des énergies fossiles. Pourtant, Syngenta se présente comme un champion de l’environnement. Lors de l’édition 2016 du FFA, des abeilles en peluche étaient distribuées pour vanter des initiatives aux résultats obscurs. L’entreprise organisatrice voulait probablement faire oublier qu’elle déploie d’intenses efforts contre l’interdiction des néonicotinoïdes, pourtant pointés du doigt par la communauté scientifique pour ses conséquences désastreuses sur les pollinisateurs naturels comme les abeilles et les bourdons.

    Sur son site web, cette entreprise déclare que s’opposer à l’utilisation d’OGM, d’engrais chimiques et de pesticides revient à utiliser plus d’eau et de terre, prouvant sa mauvaise foi en feignant d’ignorer les solutions qui font déjà leurs preuves.

    Des solutions existent : agroécologie et souveraineté alimentaire

    L’agriculture que l’agrobusiness nous propose n’a rien de nouveau. Elle ne fait que poursuivre la logique qui a amené la destruction de nos sols, la détérioration de la biodiversité, la pollution de nos eaux et la disparition de nos fermes. La vraie agriculture intelligente, l’agriculture du futur, est celle qui s’inspire des écosystèmes naturels. Une publication du rapporteur spécial sur le droit à l’alimentation de l’ONU précise que l’agroécologie pourrait doubler les productions en 10 ans, atténuer le changement climatique, protéger l’eau et créer de nouveaux emplois dans le secteur rural.

    Plutôt que de soumettre les denrées agricoles au libre marché et aux diktats de l’agrobusiness, ce sont les peuples qui doivent définir leurs systèmes agricoles et alimentaires, pour disposer d’une alimentation saine, adaptée à leurs besoins, et produite localement et de manière durable. Voilà pourquoi nous estimons qu’il est indispensable de miser sur la souveraineté alimentaire.
    Pas plus que nous ne voulons que des marchands d’armes se chargent de la paix, nous ne voulons que des marchands de poison se chargent de notre alimentation. Leur intérêt n’est que financier. Leur agriculture entraîne la mort des paysan-ne-s, des mangeurs et de l’environnement. Elle représente le passé.
    Nous voulons porter un message clair aux décideurs politiques européens et internationaux, qui doivent mettre fin à l’influence des intérêts privés de l’agrobusiness et doivent prendre leurs responsabilités pour opérer la transition agroécologique.

    Nous appelons un maximum d’organisations et de mouvements à signer cet appel et à nous rejoindre le 28 mars
    Pour notre futur, mobilisons-nous !

    Infos pratiques

    Un rassemblement est organisé le 28 mars 2017, de 12h30 à 13h30, au Mont des Arts, face au square.

    Au programme : prises de parole, buffet paysan, action symbolique.

    Premiers signataires  :

    • FUGEA
    • MAP
    • FIAN Belgium
    • CNCD-11.11.11
    • Rencontre des Continents
    • Début des Haricots
    • Quinoa
    • Réseau des GASAP
    • Association 21
    • Les amis de la terre
    • CEO
    • CADTM
    • Brigades d’Action Paysanne
    • Service Civil International

Signez l’appel en tant qu’organisation

au Mont des Arts (Bxl), face au square.

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